Juste après...
Appeler un ami et lui raconter la fin de l'histoire... malheureusement, le "happy end", ça sera pas pour cette fois.
De la musique. Ecouter de la musique, remplir le vide. Vite. Sempiternel besoin de mettre des notes sur mes émotions. Ce soir, ce sera les Beatles. Quelque chose de léger et entraînant, pour une fois ne pas sombrer dans l'auto-apitoiement.
Allumer une clope, faire des ronds de fumée sans le vouloir (quel heureux hasard, justement ma vie est un cercle vicieux, un cercle sans début ni fin; jolie métaphore).
Pleurer, un peu. Juste quelques larmes, sans en verser des torrents pour autant, faut pas exagérer non plus.
Attendre la connexion.
Attendre.
Tendre vers autre chose.
Conjurer le sort (qui s'acharne, comme tout sort qui se respecte).
Essayer de chasser les images, trop précises encore, de ma tête.
Verrouiller mes émotions.
Je tenais à toi, p'tit con.
I am a walrus, goo goo gajoob.